Cette fin d’année 2022 est pour moi l’occasion de revenir sur mon engagement d’inclure la jeunesse dans le quotidien de mon mandat européen.
J’ai mis un point d’honneur, au cours de cette année, à aller à la rencontre de lycéen-ne-s, jeunes professionnels, associatifs ou encore jeunes écologistes : mes différents échanges étaient cruciaux pour comprendre leurs besoins, leurs visions du fonctionnement et de l’avenir de l’Europe.
J’ai ainsi rencontré plus d’une centaine de jeunes de milieux et d’âges différents. Je ne souhaitais pas seulement rencontrer des jeunes gens déjà très engagés ou très au fait du fonctionnement de l’Union européenne. Le but était surtout de promouvoir l’idéal européen partout, de travailler ensemble aux manquements de l’Union européenne, d’analyser quelles envies politiques, sociales ou climatiques animent les plus jeunes de nos concitoyen-ne-s.
Ainsi, avec des jeunes du quartier de l’Ariane de Nice, nous avons pu échanger quant à l’importance du vote et à la nécessité d’un cadre législatif qui protège l’environnement, avec les Jeunes écologistes nous avons pu appréhender les liens entre militantisme et leviers politiques traditionnels, avec les lycéen-ne-s du Lycée Jean Aicard à Hyères, nous avons réfléchi au sentiment d’appartenance à l’Union européenne, avec de jeunes niçois-e-s, nous avons simulé une session de débats et de votes au Parlement européen.
J’ai également eu la chance de rencontrer des lycéen-ne-s de lycées professionnels pour parler ensemble des politiques économiques et de démocratie participative. Enfin, les acteurs et actrices associatifs qui se battent pour protéger les écosystèmes uniques notamment de la Côte d’Azur sont toujours un boost d’énergie pour moi.
Je poursuivrai bien sûr ces échanges en 2023 pour porter la voix des plus jeunes dans nos hémicycles : nous le savons, ils et elles subiront de plein fouet les conséquences sociales, économiques et climatiques des politiques européennes décidées aujourd’hui. Face aux méconnaissances, aux malentendus, au sentiment de déconnection entre les territoires et la ‘bulle bruxelloise’, faire vivre les idées européennes sur les territoires est une nécessité.
Cet article est donc pour moi l’occasion de les remercier car ils et elles inspirent mon action politique au quotidien.