Le 18 juillet 2021, je me suis rendue à nouveau devant le parc Marineland à Antibes pour dénoncer les conditions de captivité des cétacés.
Plus de 100 manifestants du Groupe anti-captivité se sont réunis et plus de 100 associations et de nombreux pays étaient représentés dont les associations One Voice, Alliance Ethique L214, Animaux & Humains, COLBAC Anti Corrida Béziers ainsi qu’avec André-Joseph et Sandrine Bouglione, concepteurs de l’Ecocirque.
Pour rappel, le Marineland d’Antibes existe depuis 50 ans. Depuis sa création, 48 cétacés (dont 36 dauphins) sont morts, soit près d’un animal mort chaque année. Nous nous battons pour la fermeture totale et définitive du Marineland comme lieu de divertissement.
Le contexte : des demi mesures
Les annonces faites par le gouvernement en septembre 2020 sont insuffisantes. L’interdiction de reproduction des cétacés en captivité, d’ouverture de nouveaux établissements et d’introduction de nouveaux cétacés dans des delphinariums représente une avancée. Mais une faille importante demeure. Alors qu’il sera interdit de détenir à des fins de spectacles des orques en 2022 et des dauphins en 2027, il n’est pas interdit de revendre ces animaux d’autres delphinariums l’étranger. L’ensemble des animaux actuellement détenus doivent être placés dans des sanctuaires marins adaptés.
